Archives de catégorie : culture

Des élèves au CCL

Le 30.9.20, des élèves de l’école secondaire ont eu l’occasion de visiter une exposition du CCL dans les cadre des leçons d’éducation artistique. Les oeuvres de Benjamin Jendly et de Jean-Marie Bidet sont visibles au CCL  jusqu’au 18.10.20.

« Silence, on lit! », c’est reparti!

L’activité de lecture régulière est reconduite comme prévu pour cette année scolaire. Tous les élèves et enseignants lâchent leurs affaires courantes pour se plonger dans une lecture personnelle quinze minutes par jour, respiration bienvenue pour tout le monde!

Cette activité dont la RTS avait parlé dans ce reportage est désormais ancrée dans la culture de notre école.

Plus récemment, l’émission FORUM de la radio RTS La 1ère a diffusé le 26.9.20 l’interview d’un enseignant qui a mis en place cette activité.

Silence, On Lit ! - Le livre à l'école

Activités 2e semestre 2020: articles

Voici les articles publiés sur le site et faisant le tour des activités du 2e semestre 2020:

Cabines-bibliothèques

Un groupe d’élèves a participé à la mise en place d’une des deux anciennes cabines téléphoniques transformées en bibliothèques.  Une des cabines a été décorée par l’école primaire tandis que la décoration de la deuxième a été prise en charge par l’école secondaire. Le projet annoncé en mai 2019 est ainsi presque terminé: la décoration de la porte d’entrée sera la dernière étape à réaliser.

Bravo à toute l’équipe de peintres: Carlos, Owen et Denis, ainsi qu’à Célestin et Antoine pour la pose des étagères.

EXPO PHOTOS CCL – Ilan

Un élève de 11e, Ilan Cantoni, a eu la chance d’exposer ses photos au CCL dans le cadre de son projet individuel. Deux des plus belles photographies seront décoreront les murs de l’école- Magnifique expo, bravo au photographe!

Article précédent parlant de l’expo

Quelques autres infos se trouvent ici dans les archives du CCL.

EXPO CCL Ilan AFFICHE

« C’est Ilan Cantoni, élève en 11H à l’École secondaire de Saint-Imier, qui tiendra la vedette de cette expo un peu particulière. Ses œuvres seront mises en situation à travers une scénographie comprenant animaux empaillés – mis à disposition par le Musée de Saint-Imier – et photographies de paysages caractéristiques de nos forêts et de nos plaines, réalisées par quatre autres photographes.

Pour Ilan, cette expo reste l’occasion d’affronter le regard du public, et pour celui-ci de découvrir l’univers déjà très riche de ce jeune artiste en devenir.

Durant sa dernière année scolaire, Ilan Cantoni a réalisé un travail individuel pour lequel il a choisi comme thème la photo­graphie animalière. Dès potron-minet, il est donc parti chasser ses images, dans le froid et l’humidité, expérimentant au passage les vertus de la patience… «La photographie animalière est quelque chose d’exceptionnel, explique Ilan. Elle procure des émotions incroyables. Se trouver en face d’un animal provoque une poussée d’adrénaline que, j’espère, vous ressentirez à votre tour en voyant mes clichés.»

Le CCL et le Musée de Saint-Imier sont heureux de lui apporter leur soutien pour la phase de présentation de ce beau travail courageux. » (texte tiré du site du CCL, archives)

La communication en question: réflexion d’une élève

Vous pouvez lire ici la dissertation d’une élève de 11e, Ashely, qui a réfléchi pendant cette période de semi-confinement sur le thème de la communication. Bonne lecture et merci à Ashely pour la qualité de son texte!


Je vais vous parler de la communication. Qu’est-ce que c’est et comment cela peut être incroyablement toxique pour nous, notre génération et notre société. Pendant cette dissertation, je vais vous faire comprendre pourquoi je suis contre la nouvelle façon de communiquer : l’Internet, et pourquoi vous devriez l’être aussi.

En premier lieu, j’aimerais vous parler d’une phobie que l’on nomme “​nomophobie​”. Qu’est-ce que c’est ? C’est une peur extrême d’être séparé de son téléphone portable. Les personnes qui en souffrent ne peuvent pas se séparer de leur téléphone facilement, parce qu’elles pensent fermement qu’il leur manque quelque chose. Ces personnes pourraient faire des crises d’anxiété quand elles n’ont pas leur téléphone entre les mains pendant un certain temps.

Ensuite, que pensé-je des progrès faits dans ce domaine ? Et bien, l’un des avantages des progrès dans la technologie est la possibilité de communiquer en temps réel et de se rapprocher des personnes qui ne sont pas physiquement avec nous. Ces communications, comme on le sait déjà, sont établies par les réseaux sociaux déjà existants. Par exemple, Instagram, Facebook, WhatsApp, etc. Si nous sortons dans la rue ou si nous allons dans un restaurant, nous remarquons que la plupart du temps, les gens ont leur téléphone portable à la main, qu’ils soient en groupe ou non. Cela contredit ce que j’ai dit dans la phrase précédente, la technologie nous rapproche quand nous sommes loin l’un de l’autre mais, une fois que nous sommes ensembles, elle nous éloigne.

Suite aux deux arguments déjà mentionnés, j’introduis le troisième : ce genre de communication provoque aux gens le besoin de s’approcher davantage du monde virtuel que du monde réel et, en outre, de créer une dépendance et une addiction. C’est pourquoi, dans certains cas, ils peuvent isoler les gens, affectant ainsi leur humeur et les rendant même dépressifs.

En effet, j’aimerais vous parler des troubles de confiance et alimentaires qui ont été causés par la forte influence des médias. Le groupe le plus vulnérable aux troubles alimentaires est celui des jeunes, qui utilisent le plus les réseaux sociaux. Tout le monde sur les réseaux sociaux veut montrer son corps magnifique, montrer au monde leurs meilleurs moments… Est-ce que faire ça est une action égoïste envers les personnes qui désirent avoir ce corps “parfait” et ce style de vie ? C’est ainsi que les réseaux sociaux veulent nous faire voir cette situation : un style de vie malsain. Pareillement, les personnes qui souffrent des troubles alimentaires suivent aussi des troubles de confiance. Les personnes qui souffrent de ces deux troubles n’en sont pas conscientes, c’est très difficile de se rendre compte de notre nouveau style de vie et de ce changement brusque et toxique. Une fois qu’on se rend compte de ça, c’est compliqué de se sortir de ce monde, lequel essaie de nous consommer de toutes les manières possibles : mental et physique. Il nous détruit mentalement, c’est pour ça qu’il faut être bien conscient du pouvoir qu’internet a sur nous. Il faut connaître tous les dangers que nous pouvons trouver sur celui-là avant de vouloir apprendre à l’utiliser.

Et en dernier lieu mais pas le moins important : les fake news. Être mal informé est l’une des pires choses sur terre. Nous avons comme devoir, sur les réseaux sociaux, de nous poser la question suivante : est-ce que l’information que je suis en train de lire est fiable ? Il y a plusieurs façons de confirmer si ce que l’on lit est vrai. La première chose c’est l’orthographe. Un site officiel ne se permettrait jamais de commettre une ou plusieurs fautes d’orthographe. Aussi, il faut être sûr que le site est bien réel et que ça soit un site officiel.

Certaines personnes ont un autre point de vue, ils ont plusieurs arguments lesquels défendent les nouvelles méthodes de communication. En premier lieu, grâce à internet nous pouvons apprendre de nouvelles langues. Nous pouvons aussi nous informer sur la culture du/des pays qui nous intéresse. Cela nous rapproche l’un de l’autre. Aussi, grâce aux réseaux sociaux, nous pouvons parler à d’autres personnes dans d’autres pays. Le monde de la communication nous rapproche de ceux qui sont à des milliers de kilomètres. Maintenant, commençons avec le deuxième argument : en ce moment où nous sommes en confinement partiel, l’internet est notre meilleur ami. Avec ça, nous sommes toujours informés de ce qui se passe et nous savons comment agir. Toutes les écoles sont fermées et pour continuer notre éducation, nous utilisons nos ordinateurs lesquels ont besoin de l’internet ce qui nous permet de vous envoyer tous nos devoirs. Dans des moments où le monde entier est en danger, l’internet nous est très, très utile. Ça devient la seule façon de rester communiquer avec le monde.

Et en dernier lieu, mais pas moins important : il y a une grande quantité de personnes qui travaillent à travers internet ou les médias. Leur vie tourne pratiquement autour de ça. Il y a déjà plusieurs métiers liés aux médias, par exemple : photographe, journaliste et toutes les personnes qui partagent leur art à travers des réseaux comme Instagram et Youtube. Sur Instagram, nous pouvons apprécier le maquillage des gens et sur Youtube les vidéos qu’ils font et avec lesquelles ils gagnent de l’argent mensuellement. Toutes les personnes avec un certain nombre des “followers” et “likes” qui font de l’art visuel vivent de ça : Internet.

Nous sommes arrivés à la conclusion de cette dissertation, laquelle me laisse avec plus de questions qu’autre chose… Est-ce que nous devrions limiter l’accès à internet à certaines personnes ? Est-ce que nous devrions éduquer les parents et enfants de telle façon qu’ils apprennent à être responsables à propos de réseaux sociaux ? Ou devrions-nous tout simplement interdire toutes sortes de contacte avec les écrans aux jeunes de 12-13 ans ? Je ne vois aucune solution possible pour les questions posées. Il est déjà trop tard pour faire quoique ce soit. Nous ne pouvons pas changer du jour au lendemain toute une génération, laquelle s’est habituée à ça. Mais nous pouvons par contre devenir plus responsables. Les parents devraient intervenir dans la vie de leurs enfants sur les réseaux. Ils devraient s’assurer que tout va bien et être sûrs que leurs enfants ne font rien de mauvais sur les médias. Et pour les jeunes adultes ou adolescents sur les réseaux, il faudrait arrêter de dire “Ça ne va jamais m’arriver”, parce que nous ne sommes pas sûrs de ce qu’il pourrait se passer. Nous devons apprendre à être responsables. Savoir que, même si nous sommes dans “l’anonymat”, nous sommes toujours vulnérables aux éventuels commentaires que les gens font sur nos “profiles”.

Même si Internet a aidé avec l’évolution de la communication aujourd’hui, il a aussi causé beaucoup de mal à tout le monde, principalement la nouvelle génération. Celle qui a l’habitude d’utiliser les réseaux sociaux tous les jours.

Ashely, élève de 11e

Le chocolat a un prix!

« FAIRAFRIC – le chocolat ghanéen, de la fève à la tablette »

IMG_1616Les élèves de 9e d’une classe de français ont pu assister à une présentation de la problématique liée à la production du cacao. Les élèves sont sensibilisés au problème du prix du cacao. Un prix équitable permet de garantir de meilleures conditions de vie aux producteurs.

Merci à Madame Mioche-Henry du « Magasin du Monde » de Porrentruy d’être venue à Saint-Imier!

Autre lien intéressant: la RTS a fait un reportage diffusé le 19.1.20 dans « Mise au point »

IMG_1617

 

 

chocolat FairAfric